Association Internationale des Libraires Francophones

Paroles de libraires, “vitrines de l’édition francophone dans le monde”, Nicolas Gary - 18.03.2018

paroles libraires monde francophonie

 

En France ou à l'étranger, “les dangers pour les libraires sont les mêmes”, titre ActuaLitté, pour cette interview où Anaïs Massola a sont franc-parler habituel. Administratrice de l'AILF, elle est l'une des très rares libraires françaises à adhérer à notre association.

Anais petite

La réalité d'une librairie spécialisée jeunesse à Beyrouth, c'est quoi ?
Christiane Choueiri, une passionnée, partage sa conception du métier de libraire dans lequel elle s'investit au quotidien, au service des lecteurs, des auteurs, des éditeurs et de la promotion et circulation des écrits. 

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Pour soumettre votre demande d'aide au Centre national du livre, pour la session d'avril, vous devez déposer votre dossier avant le 16/02/2018.
 
Petit rappel de toutes les aides disponibles pour les libraires francophones à l'étranger en cliquant ici
 
        

                                       

Sélim Bouali, à la tête de la librairie Soleil, sst en plein développement. Très actif et à l'écoute de tout, il joue un rôle prépondérant dans la promotion du livre et de la lecture dans tout l'Ouest algérien. Pour tout savoir, lisez l'interview parue dans Actualitté en cliquant ici
 
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        Pour lire l'interview publiée en ligne par ActuaLitté, le 8 janvier 2018, , cliquez ici                                    
                                               

                                       

"Evidemment, aucun livre, aucun auteur n’existerait sans les libraires. Mais, pour moi, il y a quelque chose, je pense, d’un peu spécial. Mes traductions de Dostoïevski, comment ont-elles vécu ? Comment sont-elles parvenues à atteindre les lecteurs ? — Il y a eu beaucoup d’articles au début (j’en ai parlé), mais ensuite, et très naturellement, il n’y avait plus eu d’article du tout — je veux dire, au jour le jour, livre après livre. Et le CNL, donc, ne donnait aucune subvention, et il fallait bien qu’ils se vendent tout seuls, ces livres — des livres qui, par nécessité, n’étaient pas tous aussi connus que « L’Idiot »… [...]

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